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Les réseaux du TEN

mercredi 14 mai 2008, par Philippe Bataille

  • Le réseau en HO,
  • Le réseau en N, 
  • Les modules en O/Om 
  • Le dépôt en Oe 
  • Les modules en IIe
    ... 
  • puis le réseau en IIe

Le réseau HO installé dans notre local est constitué d’une
suite de
modules aux interfaces normalisés FFMF :

  • Deux raquettes de retournement,
  • Un dépôt mixte diésel-vapeur,
  • Un viaduc,
  • Un module "champêtre" réalisé par Yves M.,
  • Un module "gare" réalisé par Pierre L.,
  • Deux modules "gare et halle" réalisés par Manuel V.

Le réseau HO est en cours de digitalisation :

  • la gare terminus "TENNEVILLE" de la raquette est déja
    digitalisée,
  • la prochaine étape concernera la digitalisation du dépôt.

La précédente réalisation du club fut une autre raquette à 3
voies mais
beaucoup plus simple. Ces raquettes permettent de boucler le réseau du
club. Le dernier chantier des ’HOistes’ du club a été la modification
du
rayon de courbure de la sortie de cette raquette. En effet, elle ne
permettait pas le passage de certain matériels issus de kits et qui
nécessitent de très grands rayons... Nous en avons profité pour
rajouter une voie permettant d’insérer facilement du matériel sur le
réseau.

Le dépôt mixte diesel-vapeur

Le dépôt a été réalisé en 1999.

le dépot mixte diesel vapeur
vue aérienne du dépôt

Vue aérienne du dépôt.

Dans le bas de la photo, on aperçoit le départ de la première raquette avec son tableau de commande.

vue d’ensemble des installations du dépôt

Vue d’ensemble des installations du dépôt.

autre vue d’ensemble du dépot

Autre vue d’ensemble du dépôt.

De nombreux autorails stationnent dans le dépôt

De nombreux autorails stationnent dans le dépôt...

Traction vapeur dans le dépôt.

L’entrée du dépôt du côté du pont routier.
Derrière les modules, il y a une voie qui permet de composer facilement
nos rames avant des les envoyer sur le réseau. Cette voie débouche du
tunnel qui est sur la droite.

L’entrée du dépôt vue depuis le dessous du
pont routier.

La petite gare en HOm à l’autre extrémité
du dépôt.


Le viaduc

Le viaduc est le seul élément du réseau qui soit entièrement fixe : il
n’est pas démontable et ne peut donc pas être emmené lors des
expositions. Il a été réalisé en 1993.

Vue générale du viaduc.

Le viaduc avec la voie HOm dans le fond.

Le module "champêtre" de Yves M.



Le module "gare" de Pierre L.

Ce module a été réalisé avant 1987.

Les modules "gare et halle" de Manuel V.

Ces
modules ont été réalisés en 1988 et 1990.


La "digitalisation" du réseau.

Cinq alimentations différentes, en courant continu, permettent
de contrôler
la marche des trains du TEN :

  • Une pour la raquette non décorée,
  • Une pour les voies principales encadrant le dépôt,
  • Une pour les voies du dépôt,
  • Une pour les voies principales de la raquette décorée,
  • Une pour la voie unique, la gare terminus à laquelle elle
    aboutit et son
    annexe traction (gare cachant une partie de la raquette qui passe
    dessous).

La digitalisation du réseau a débuté par le branchement d’une
centrale Lenz à la place de la cinquième
alimentation citée ci-dessus. On obtient ainsi une zone digitalisée
allant de la maison de garde barrières jusqu’à la gare terminus et son
annexe traction.
Le reste du réseau est toujours analogique, y compris les voies
principales de la raquette passant sous cette gare et se raccordant à
tout réseau modulaire normalisé.

Moyennant
de placer entre zone analogique et zone digitale, une section de voie
doublement isolée,
alimentée également par la centrale Lenz mais via deux lampes de
sécurité, on peut faire circuler des engins avec décodeurs, passant
indifféremment d’une section à une autre, sans risques de courts
circuits pouvant détériorer la centrale.

Nos engins digitalisés le sont avec des décodeurs Lenz, Zimo,
CT
Electronik, ROCO, etc. sans problème de compatibilité.

Nous avons expérimenté pour la
première fois ce mode de fonctionnement mixte (analogique + digital)
lors de l’exposition d’Arpajon (91) les 11 et 12 juin 2005. Notre
ensemble raquette + gare terminus était raccordé à des modules d’autres
clubs.
Les engins analogiques venant des modules des autres clubs, restaient
sur les voies principales de la raquette, faisaient une boucle en
souterrain et repartaient d’où ils étaient venus.
Les engins digitaux pouvaient, si on le désirait, bifurquer vers la
voie unique, pénétrer en territoire digital, et arriver en gare
terminus. Ils pouvaient alors manoeuvrer, avec des ralentis toujours
spectaculaires, en gare ou sur les voies de l’annexe traction.

Ce mode de fonctionnement est très intéressant et offre une
solution satisfaisante en attendant des
réseaux modulaires normalisés entièrement digitalisés. Seuls deux
problèmes se sont présentés :

  • le passage de la zone digitale à la zone analogique, ou
    l’inverse, ne se fait pas avec une régularité de vitesse très réaliste,
  • l’incompatibilité de certains bolides analogiques
    antédiluviens avec les engins digitaux,
    dont le décodeur, en prenant une part de la tension, ralentit la marche
    en analogique.

La prochaine étape consistera à
digitaliser la totalité du réseau du club tout en conservant la
possibilité de fonctionner en analogique...